Ouverture

Bonjour !

Grande motivation aujourd’hui, j’ai encore fini de lire un livre… j’en ai encore deux « en cours » et évidemment j’en commence tout de suite un autre… Mais l’un des deux autres, « Allah n’est pas obligé » me dit quelque chose… enfin, surtout le début… alors du coup ça m’embête si je ne me souviens plus des livres que j’ai lu… Donc je me suis dit, ni une ni deux (enfin si, il m’a fallu un moment quand même pour y réfléchir mais bon), je n’ai qu’à mettre des petits résumés quelque part, de tous les livres que j’aurais lu… et comme c’est vachement la mode, pourquoi ne pas le faire en ligne ?? Allez, hop, je me lance…
Donc voilà, c’est mes impressions, mes commentaires, mes critiques personnelles sur les livres de tous genres que je dévore… Le tout en laissant le plus possible l’exclusivité des premières critiques à mamie Thérèse… et une fois qu’elle a reçu mes critiques, je peux les mettre en ligne...

Saturday, April 26, 2008

La consolante - Anna Gavalda - 24/04/08

En passant il y deux semaines à Choisy (sur le retour de Kerpoisson), mamie m'a donné quelques livres... dont celui ci, que j'ai dévoré (un bon pavé quand même), entre lundi et jeudi... tellement prenant que, alors qu'en principe dans l'IC entre Mainz et Mannheim je dois travailler (soit lire des articles, soit rédiger un peu mon mémoire), je n'ai pas toujours réussi à m'en détacher...

Bref, donc j'avais beaucoup aimé "ensemble c'est tout", même si je ne m'en souviens pas parfaitement, et si je ne suis pas nonplus allée voir le film.. donc je me suis lancée joyeusement dedans..
Finalement, heureusement que la fin est bien plus optimiste que le début, sinon j'allais moi aussi sombrer dans la tristesse de l'écriture.. très bien écrit, qui transmet très très bien le mal-être du personnage principal... qu'on s'y identifie..

Présentation de l'éditeur
« Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d'une femme qu'il a connue quand il était enfant, et adolescent.
« Il déchire la lettre et la jette dans la poubelle de la cuisine. Quand il relève son pied de la pédale et que le couvercle retombe, clac, il a l’impression d’avoir refermé, à temps, une espèce de boîte de Pandore, et, puisqu’il est devant l’évier, s’asperge le visage en gémissant.
Retourne ensuite vers les autres. Vers la vie. Se sent mieux déjà. Allez... C’est fini.
C'est fini, tu comprends ?
»
Le problème, c'est que non, il ne comprend pas. Et il n'y retourne pas, vers la vie. Il perd l’appétit, le sommeil, abandonne plans et projets et va essayer de comprendre pourquoi tour se fissure en lui; Et autour de lui. Commence alors un long travail de deuil au bout duquel il est obligé de se rendre à l’évidence : l’échelle de cette vie-ci est illisible et il faut tout rebâtir.» A.G.

Donc un livre à lire en entier (surtout ne pas s'arrêter parce que c'est trop triste, il faut continuer ;-) ), et dans un moment où on se sent plutôt bien..

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