"Lorsque les habitants d'El Idilio découvrent dans une pirogue le cadavre d'un homme blond assassiné, ils n'hésitent pas à accuser les Indiens de meurtre. Seul Antonio José Bolivar déchiffre dans l'étrange blessure la marque d'un félin. Il a longuement vécu avec les Shuars, connaît, respecte la forêt amazonienne et a une passion pour les romans d'amour. En se lançant à la poursuite du fauve, Antonio José Bolivar nous entraîne dans un conte magique, un hymne aux hommes d'Amazonie dont la survie même est aujourd'hui menacée"
(4eme de couverture)
Maintenant ce n'est plus des livres "de bus" mais des livres "de RER" qu'il me faut... ils doivent donc être en format poche, avoir des chapitres ou des paragraphes suffisemment petits... et me donner envie de prendre le RER pour pouvoir les lire!!
Pour l'anniversaire de mamie, Christine lui a envoyé ce livre et "Mémoires de mes putains tristes" que j'ai lu aussi.
Ce livre est très touchant par la réalité qu'il transmet par rapport à l'arrivée d'occidentaux en amazonie, par leur méconnaissance du lieu et des habitudes... et par ailleurs, ce "vieux" qui découvre un jour qu'il sait lire, et qui donc en profite... même si ca lui prend beaucoup de temps pour déchiffrer chacun des livres que le dentiste lui apporte.
Un " classique" (je suis sûre qu'on l'a à Aix), mais je n'avais jamais eu l'occasion de le lire..
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