Le premier envois de mamie… et plein de bonnes choses dedans… La narratrice a gardé un album de photos que sa grand-mère lui a un jour donné… et au bout d’un moment, elle s’est décidé à l’ouvrir, et à rassembler ses souvenirs autours des photos qu’elle y trouvait… Les petites choses dont on se souvient à partir d’une photo, je trouve ça toujours tellement vrai… laisser divaguer son esprit à partir de pas grand-chose… une image figée, qui ne représente qu’un instant de l réalité…
J’ai beaucoup aimé les réflexions sur la religion et Dieu….
p.85 : « Il faut bien qu’il y ait un Dieu pour que nous nous retrouvions chaque année, une fois au moins en hiver. S’il n’y avait pas de Dieu nous vivrions séparés les uns des autres. […]. Dieu n’est pas une personne, Dieu est un ordre. […]. Dieu a fait l’hiver pour que nous puissions fêter Noël et la Saint Nicolas […]. Dieu fait pousser les crocus et puis les jonquilles pour nous dire qu’il est temps de penser au Carême.
p.88 : « Dieu n’est plus, ils en prennent acte sans broncher. Ce qui prouve assez bien qu’ils n’en ont jamais eu besoin. […]. Dieu s’efface en un clin d’œil, et avec lui les fêtes, les temps, et le calendrier. Il ne reste plus que les congés, qui servent à faire des courses dans les magasins ouverts. […]. Dieu qui était un calendrier devient aléatoire. Rien d’étonnant à ce qu’on finisse, un jour, par se perdre de vue. »
J’ai beaucoup aimé les réflexions sur la religion et Dieu….
p.85 : « Il faut bien qu’il y ait un Dieu pour que nous nous retrouvions chaque année, une fois au moins en hiver. S’il n’y avait pas de Dieu nous vivrions séparés les uns des autres. […]. Dieu n’est pas une personne, Dieu est un ordre. […]. Dieu a fait l’hiver pour que nous puissions fêter Noël et la Saint Nicolas […]. Dieu fait pousser les crocus et puis les jonquilles pour nous dire qu’il est temps de penser au Carême.
p.88 : « Dieu n’est plus, ils en prennent acte sans broncher. Ce qui prouve assez bien qu’ils n’en ont jamais eu besoin. […]. Dieu s’efface en un clin d’œil, et avec lui les fêtes, les temps, et le calendrier. Il ne reste plus que les congés, qui servent à faire des courses dans les magasins ouverts. […]. Dieu qui était un calendrier devient aléatoire. Rien d’étonnant à ce qu’on finisse, un jour, par se perdre de vue. »
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