
Auréliano de père en fils (ou Florentino), 100 ans de vie de la famille, dans le village de Macondo… la découverte des inventions, les croisements et re-croisements, les voyages, les retours des enfants prodigues… Gabriel Garcia Marquez a une écriture magique, on se sent prit dans le mouvement, cette famille riche en histoire à laquelle on s’attache, mais où on se perd (les prénoms revenant régulièrement dans la généalogie…)… On ne peut pas raconter l’histoire…
Juste, à un moment une mère écrit à ses enfants qui sont tous deux en Europe, loin, et on découvre que de chaque côté ce qui est raconté et loin de la réalité… ça m’a fait pensé à la difficulté de rester « au courant » de ce qui se passe chez soi quand on est loin…
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