Un excellent live envoyé par mamie… J’ai mis un peu de temps à me lancer dedans après l’avoir reçu, j’avais plein d’autres livres « en attente », mais une fois lancée dedans je n’ai pas pu m’arrêter… bon, c’était facile de commencer, j’avais 5h de bus pour aller à Stockholm, mais ensuite, il a fallu que je le termine rapidement, en volant quelques lignes en me levant le matin ou avant de me coucher, pendant le weekend… si bien que dimanche matin j’avais lu la dernière ligne.
L’histoire commence dans les années 70, à Kaboul. Amir vit avec son père, Baba, un notable de la ville, Ali et Hassan, père et fils chiites à leur service. Ali et Baba ont grandis ensemble, Hassan et Amir grandissent ensemble dans une sorte d’amitié complexe, due à la position et à l’ethnie différente (Amir est pachtoun) de chacun. Tous deux aiment les cerfs volants et participent aux concours organisés dans la ville, mais cette amitié est blessée par la jalousie et la lâcheté d’Amir… Peu avant l’invasion de l’Afghanistan par les Russes, Ali et Hassan s’en vont…
Réfugiés aux Etat Unis, Baba et Amir essaient de se reconstruire, eux et leur vie.
Des années plus tard, Amir reçoit un appel du Pakistan d’un ami de son père, qui lui demande de venir pour racheter sa lâcheté.
C’est une histoire sur l’amitié… jamais simple (Amir « teste » Hassan), de secrets de famille, avec ces deux pères vivants avec leurs fils, sans mère (l’une est morte, l’autre est partie)… Une amitié malgré la différence ethnique, mais qui ne supporte pas la jalousie et la lâcheté…
C’est aussi un regard concerné sur l’histoire de l’Afghanistan, les Talibans acclamés puis meurtriers, le pays ruiné et perdu…
Enfin c’est aussi un regard sur la position d’un immigré aux Etats-Unis (mais je pense que ca aurait pu être ailleurs), reconstruire son ancienne vie ailleurs, essayer de s’intégrer dans le nouveau pays, idéaliser le passé…
L’histoire commence dans les années 70, à Kaboul. Amir vit avec son père, Baba, un notable de la ville, Ali et Hassan, père et fils chiites à leur service. Ali et Baba ont grandis ensemble, Hassan et Amir grandissent ensemble dans une sorte d’amitié complexe, due à la position et à l’ethnie différente (Amir est pachtoun) de chacun. Tous deux aiment les cerfs volants et participent aux concours organisés dans la ville, mais cette amitié est blessée par la jalousie et la lâcheté d’Amir… Peu avant l’invasion de l’Afghanistan par les Russes, Ali et Hassan s’en vont…
Réfugiés aux Etat Unis, Baba et Amir essaient de se reconstruire, eux et leur vie.
Des années plus tard, Amir reçoit un appel du Pakistan d’un ami de son père, qui lui demande de venir pour racheter sa lâcheté.
C’est une histoire sur l’amitié… jamais simple (Amir « teste » Hassan), de secrets de famille, avec ces deux pères vivants avec leurs fils, sans mère (l’une est morte, l’autre est partie)… Une amitié malgré la différence ethnique, mais qui ne supporte pas la jalousie et la lâcheté…
C’est aussi un regard concerné sur l’histoire de l’Afghanistan, les Talibans acclamés puis meurtriers, le pays ruiné et perdu…
Enfin c’est aussi un regard sur la position d’un immigré aux Etats-Unis (mais je pense que ca aurait pu être ailleurs), reconstruire son ancienne vie ailleurs, essayer de s’intégrer dans le nouveau pays, idéaliser le passé…
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