
Un souvenir de grisaille en pensant à ce livre… ça se passe à l’automne dans Paris, certes on sent bien le froid, la tristesse… de cette « petite Bijou » qui pense avoir reconnu sa mère dans le métro, mère qui l’a abandonné il y a dix ans, et qui serait morte au Maroc… Certes, on part de cette idée… mais j’aimerais bien qu’il y ait une confrontation, et pas juste de l’attente, de la tristesse, des souvenirs… heureusement qu’elle rencontre par hasard une pharmacienne qui s’occupe d’elle… on a même une lueur d’espoir à la fin, quand elle se réveille dans sa chambre d’hôpital après une tentative de suicide… mais j’aime pas les gens mous qui se laissent aller à leur tristesse sans essayer de se bouger, même rien qu’un peu… J’avais envie de lui mettre des coups de pieds au cul pendant toute l’histoire…
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